Hobby Dan Studio
A propos

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Donner vie à des bouts de plastique…
Mettre en valeur la vision du sculpteur…

Tout à démarré un dimanche après-midi de 2016, lorsqu’on me proposa de participer à la mise en peinture de Zombicide Black Plague. Tout un tas de zombies sous-couchés attendait d’être peint.

Premiers contacts (ou presque) avec la peinture acrylique et des bonshommes en plastique. Une fois posées les couches de base de tous ces zombies, je repartais chez moi avec un starter set de Guerriers du Chaos – Slaves To Darkness et la ferme intention de commander mes premiers pinceaux et mes premières peintures.

C’est le temps des premières tentatives, aussi les premièrs soclages faits maison. Les premières leçons de l’expérience. Il faut bien un début à tout!


Depuis, il y a eu des heures et des heures de vidéos de grands peintres sur miniatures, et surtout beaucoup de tests et de pratique.

Des techniques basiques aux plus délicates, de la théorie des couleurs, aux comportements des diverses gammes de peintures sur le marché, je ne me lasse pas d’apprendre et d’expérimenter.

Parmi ceux que j’ai le plus visionné, qui m’ont le plus inspiré, on trouve en tête Vincent Venturella. Ici, un index très pratique de ses vidéos.
Mais aussi, surtout pour l’aérographe, Kenny Boucher sur sa chaine Next Level Painting.
Marco Frisoni, pour sa science des couleurs et de leurs interactions grâce à la transparence. C’est aussi lui qui m’a décidé à aborder les peintures à l’huile qu’il maitrise parfaitement. La référence en miniatures peintes à l’huile, James Wapple.
Aussi, Mohand, peintre français proposant de nombreux tutoriels.
Coups de coeur pour Trent Denison et Sergio Calvo. Bref, la liste serait trop longue.


L’aérographe est rapidement apparu comme étant un outil des plus efficaces. Pour la sous-couche, biensûr. Mais aussi pour la pose de couleur des grandes surfaces, les bases en dégradé, la pose de lumières/ombres volumétriques, les glacis finaux, et le vernis.

Puis, plus récemment, j’ai commencé à utiliser les peintures à l’huile. Pour les lavis efficaces en premier lieu, et pour les dégradés dans le frais si soyeux.